Réduire ses frais de notaire en plus de recevoir des avantages fiscaux

Comme vous le constaterez sur le site de Kermarrec Promotion, l’achat dans le neuf permet de bénéficier de bien d’autres avantages. La réduction des frais de notaire en fait partie. Le gouvernement français encourage l’achat de logements neufs pour stimuler la construction immobilière et parvenir ainsi à répondre aux besoins en logements. Ces frais de notaire réduits sont une stratégie d’incitation aux achats immobiliers au même titre que les avantages fiscaux.

Cette réduction est logique si l’on regarde la base de calcul. Pour un bien ancien, les frais de notaire sont calculés sur le prix de vente du bien. En revanche, pour un bien neuf, ils sont calculés sur la valeur hors taxe du bien : la base de calcul dans ce cas est inférieure à celle d’un bien ancien. La taxe de publicité foncière y est aussi pour quelque chose. Le montant de cette taxe est généralement plus faible dans le cas d’un logement neuf que celle appliquée pour un logement ancien.

Payer moins de taxes locales et bénéficier d’avantages fiscaux en même temps

Ces taxes locales figurent dans les frais de notaire. Naturellement, lorsqu’elles sont revues à la baisse, automatiquement, les frais de notaire voient leur montant baisser. Grâce à toutes ces exonérations et ces économies, vous pourrez envisager de transformer votre futur logement neuf en un smart home. Par exemple, dans certaines communes, les acquéreurs de logements neufs peuvent bénéficier d’une exonération de taxe foncière pour une durée pouvant aller jusqu’à deux ans à partir de l’année qui suit la fin de la construction. Cette exonération n’est pas automatique et dépend des politiques locales. On peut également citer la Taxe d’aménagement et la Participation pour le financement de l’assainissement collectif.

Planification financière

Les planificateurs financiers ont pour mission d’assister les particuliers dans l’élaboration des plans pour garantir leur stabilité financière actuelle et future. Ces professionnels se chargent de l’examen des objectifs financiers d’un client tout en l’aidant à élaborer un plan d’épargne et d’investissement convenable aux besoins individuels du client. Le plan peut se concentrer sur la préservation du patrimoine et la croissance des investissements. À cela s’ajoute la planification successorale et fiscale.
La majorité des planificateurs financiers travaillent soit dans de grands groupes nationaux, soit dans de petites entreprises locales. Leurs services sont facturés par des honoraires fixes ou par un pourcentage des actifs sous gestion du client auxquels ils perçoivent des commissions sur les produits vendus.

Banque d’investissement

Les métiers de la banque d’investissement figurent parmi les carrières financières les plus demandées et recherchées. Les banques d’investissement facilitent les nouvelles émissions de titres d’entreprise et les mettent sur le marché afin que les investisseurs puissent les acheter. Les professionnels de ce secteur effectuent des négociations de titres, des actions ou des obligations sur le marché secondaire. Ils offrent des conseils aux entreprises et aux investisseurs individuels fortunés.
Vous pourrez y travailler comme négociateur ou analyste dans la recherche sur les actions, les obligations d’entreprise ou d’autres titres à revenu fixe.

Comptabilité publique

La comptabilité publique est un vaste domaine qui offre autant de possibilités. Les comptables publics agréés aident les professionnels et les particuliers à suivre leurs finances selon les principes comptables généralement reconnus. Les experts-comptables enregistrent les transactions commerciales, aident à préparer les états financiers. Ils vérifient les dossiers financiers, préparent les déclarations de revenus et fournissent des services de consultation connexes.

Trouver le terrain de vos rêves

Il est important de prêter attention au moindre détail avant d’acquérir un terrain. L’acheteur d’un terrain constructible doit méticuleusement cerner ses besoins. Pour éviter les situations fâcheuses, il doit aussi entamer des recherches. Les terrains constructibles sont souvent des terrains isolés ou en lotissement. Ce sont des parcelles sur lesquelles on construit une maison ou un immeuble. Ils sont enregistrés comme constructibles. Il faut alors vérifier le terrain auprès du Plan Local d’Urbanisme (PLU).

On peut également le trouver à la mairie. Il faut donc être certain que le terrain est constructible. De plus, il est important de connaître l’aspect du terrain pour savoir s’il respecte un style esthétique. En outre, la zone où se trouve la parcelle peut imposer une hauteur à ne pas dépasser. On consulte donc le cahier des charges pour un terrain sur un lotissement.

Les étapes à suivre

La surface du terrain détermine l’étendue de la superficie constructible. On le calcule à partir d’un coefficient d’occupation des sols (COS). Vous devez vous assurer de la viabilité du terrain. Il est en effet plus pratique d’acheter un terrain viabilisé. Il dispose de tous les raccordements utiles à la construction. Vous pouvez alors faire un prêt à la banque pour acheter le terrain. Toutefois, il faut estimer votre capacité d’emprunt. L’acheteur doit alors rassembler les dossiers de vente tels que la mention des servitudes, le procès-verbal de bornage et une déclaration de terrain à risques.

Faites ensuite une offre d’achat sur le terrain. Il est possible de proposer un certain prix au vendeur. La promesse de vente est, par la suite, l’étape la plus importante. C’est après que vous pouvez vous rendre chez le notaire pour signer l’acte de vente. Le compromis de vente rend finalement officielle la transaction.

Le prêt immobilier, c’est quoi exactement ?

Comme indiqué par son nom, le prêt immobilier est comme un prêt bancaire, mais qui est destiné seulement pour les investissements immobiliers. Ainsi, quand vous avez un projet de rénovation ou de construction immobilière, vous pouvez obtenir ce prêt. Ce dernier est accordé par les banques ou les sociétés de financement, qui vous empruntera la somme d’argent nécessaire pour soutenir votre projet.

Comment obtenir ce prêt ?

Ce prêt n’est pas accessible à tout le monde. Il existe en effet quelques conditions très importantes. La première condition est la stabilité financière. Proprement dit, votre profil financier doit correspondre aux attentes des prêteurs. De ce fait, vous devez avoir un revenu durable.
La deuxième condition est l’apport financier qui sera un atout pour votre demande de prêt.
Sachez que l’état de votre compte bancaire fait également parti des conditions d’emprunt. Pensez alors à mettre des épargnes dans votre compte bancaire.

Les paperasses essentielles

Pour bénéficier de ce prêt, quelques dossiers sont à fournir :
Il y a les documents personnels ou les dossiers qui vous concernent tels que la pièce d’identité, la pièce justificative de résidence, le dossier familial, le contrat de travail, etc.
Vous devez aussi fournir les papiers des revenus et recettes, les trois dernières fiches de paie et l’avis d’imposition. Il y a également les relevés de compte bancaire et un document d’apport personnel.
Bien évidemment, vous devez fournir une demande de prêt (contrat de construction) qui sera accompagnée d’une demande de prêt à taux zéro.

Avant d’emménager, que faire ?

Avant d’emménager dans votre nouvelle maison, vous devez commencer par prendre contact avec votre fournisseur d’électricité et de gaz pour demander la résiliation de votre contrat de fourniture à la date de votre départ. Vous trouverez ses coordonnées sur vos factures d’énergie. Le fournisseur, de gaz en particulier, peut demander un rendez-vous pour qu’un agent vienne relever le compteur et sécuriser l’installation électrique. Cela ne vous coûtera rien. Si vous n’êtes pas présent le jour convenu, un deuxième rendez-vous sera pris et alors, cela vous sera facturé. Si vous décalez la date de votre déménagement après la date de la résiliation, vous devez en informer votre fournisseur d’énergie. Ainsi, le rendez-vous sera aussi reporté. Rappelez-vous que mettre votre fournisseur d’énergie au courant de votre déménagement est impératif, car si vous ne le faites pas, vous continuerez à payer l’abonnement et les éventuelles consommations d’énergie entre le moment de votre départ et l’arrivée d’un nouveau locataire. Vous ne souhaitez certainement pas être redevable de ces paiements, alors, résiliez proprement votre contrat.
Certes, vous avez beaucoup de choses en tête et à faire, surtout si vous n’avez pas pris de jours de congé. Vous devez jongler entre travail, famille, cartons et le reste. Les oublis peuvent ainsi arriver. Pour que cela n’arrive pas, déléguez certaines tâches aux membres de votre famille. Dans tous les cas, listez tout ce que vous devez faire avant d’emménager dans votre nouveau domicile et surtout, marquez parmi les premières étapes à faire celle de résilier votre contrat avec votre fournisseur d’énergie. Cochez au fur et à mesure ce qui est fait. Ainsi, vous êtes sûr de ne pas passer à côté des essentiels. Si votre fournisseur n’a pas demandé un rendez-vous pour relever le compteur, le jour du déménagement, relevez les compteurs du domicile que vous êtes sur le point de quitter et faites de même dans celui que vous allez occuper. Ensuite, transmettez les index aux fournisseurs concernés.

Pour votre nouveau logement

Vous avez sans doute fait la visite de votre nouveau logement plusieurs fois avant d’y emménager, surtout si c’est une maison individuelle neuve. Vous devez donc savoir si oui ou non, ce logement est raccordé au réseau d’électricité et/ou de gaz. Si ce n’est pas le cas, n’attendez pas le jour de votre emménagement pour faire une demande de raccordement. Faites-le plusieurs semaines à l’avance pour que le jour où vous prenez possession de votre nouvelle maison, vous ayez l’électricité et/ou le gaz. Mais avant, assurez-vous que le promoteur immobilier qui s’est occupé de la maison n’a pas déjà effectué cette démarche. Dans tous les cas, pour faire cette démarche, vous devez avoir choisi un nouveau fournisseur d’énergie. Évidemment, si vous avez été satisfait de votre ancien fournisseur d’énergie, vous pouvez signer un nouveau contrat avec lui. Maintenant, si vous emménagez dans un appartement neuf, vous devez relever les références des compteurs que vous devez présenter au fournisseur d’énergie. Pour un logement neuf, réclamez les certificats de conformité des installations intérieures, un pour l’électricité et un pour le gaz, car vous devez les montrer au fournisseur d’énergie le jour de la mise en service de l’installation. Ces certificats garantissent votre sécurité.

Quoi qu’il en soit, rappelez-vous ceci : avant votre emménagement, vous avez un délai de 15 jours pour prendre contact avec un fournisseur d’énergie et souscrire un contrat. Si vous oubliez de le faire dans cette période, vous pourrez vous trouver privé d’électricité et de gaz à tout moment, et ce, sans préavis. Tant que vous n’êtes pas titulaire d’un contrat d’énergie pour votre nouveau logement, le fournisseur est libre de couper l’énergie quand bon lui semble. Faites donc les démarches indispensables avant de vous installer et pour cela, vous devez d’abord trouver le bon fournisseur d’énergie.

Comment trouver le bon fournisseur d’énergie ?

Vous voulez sans doute souscrire un contrat d’énergie le plus économique possible, n’est-ce pas ? Mais quel fournisseur choisir pour payer moins cher ? En ce moment, il y a 6 fournisseurs intéressants que vous pouvez contacter :
– ENGIE, dont l’offre d’électricité est à prix fixe 3 ans
– Total Direct Energie et son offre Classique ou Online
– Mega Energie avec son offre Online
– Vattenfall et son offre Electricité Eco
– ENI vous propose son offre Astucio Eco
– Mint Energie avec son tarif Online & Green.

Oui, le fournisseur EDF n’a plus le monopole de l’énergie dans le pays. Donc, vous avez le choix. Ces fournisseurs alternatifs misent sur les remises sur les factures énergétiques afin d’attirer les consommateurs.

Le choix vous semble difficile ? Le plus simple est d’utiliser un comparateur. Dans ce cas, rendez-vous sur https://www.hellowatt.fr/comparateur-fournisseurs-electricite-gaz/. Si vous n’utilisez pas un comparateur, gardez ceci à l’esprit : pour faire le bon choix de fournisseur d’énergie, vérifiez quel est le prix de l’abonnement ainsi que le prix du kWh. Il vous sera ainsi plus facile de comparer les offres pour trouver le moins cher. Mais sachez également que de nos jours, à part les tarifs réglementés, il y a aussi deux autres offres à connaître. Premièrement, les offres à prix indexés sur les tarifs réglementés, ce qui peut être très économique. Deuxièmement, les offres à prix fixe sur une année ou plus, ce qui vous met à l’abri de la hausse des tarifs d’énergie. Ce second type d’offres n’est pas réellement économique, mais vous protège juste d’une éventuelle augmentation de prix. C’est l’offre à prix indexé qui permet d’avoir des factures d’électricité et de gaz vraiment avantageuses.

Présentez un projet viable

En principe, les banques n’accordent du crédit que lorsqu’elles ont quelques connaissances sur votre projet. C’est la raison pour laquelle, les projets d’innovation et de recherche obtiennent difficilement un prêt. Vous devez démontrer que le vôtre est rentable en présentant de solides arguments matériels. Rassemblez toutes les informations importantes, puis établissez un bilan simplifié et un compte de résultat. Sachez que votre business plan doit être le plus réaliste possible. Cela dit, un prévisionnel trop optimiste fera douter immédiatement votre banquier. Vous risqueriez alors d’avoir un refus.

Optimisez votre profil emprunteur

Avoir un excellent profil est bien évidemment indispensable pour espérer l’obtention d’un prêt auprès des banques. Pour cela, vous devez justifier une situation professionnelle stable. C’est seulement grâce à votre santé financière que le banquier pourra juger votre capacité de remboursement. Bien que ce soit un grand atout, avoir un revenu très élevé n’est pas forcément obligatoire. Montrez juste à votre conseiller que vous êtes responsable dans la gestion de vos finances et que chaque mois vous arrivez à dégager une épargne importante.

Faites jouer la concurrence

Avant de vous rendre dans une banque pour emprunter de l’argent, il serait judicieux de faire un comparatif et de consulter les offres de tous les établissements financiers. Comparez attentivement leurs modalités à savoir le taux d’intérêt appliqué, la durée de remboursement exigée ainsi que l’échéance. Comme les banques sont en permanence en concurrence, vous pouvez miser sur celle-ci pour bénéficier de meilleures conditions. Par ailleurs, recourir à un courtier est aussi très avantageux. Avec un professionnel à vos côtés, vous avez plus de chance d’obtenir un prêt bancaire.

Gérer vos émotions

Il faut l’avouer, nous nous laissons facilement emporter par nos émotions. Cependant, elles ne font que perdre notre objectivité. Flashés par la beauté de l’immeuble, certains investisseurs n’arrivent plus à raisonner correctement. Pourtant, ce n’est pas toutes les maisons qui sont belles et commodes qui attirent autant de locataires. Elles peuvent être des mauvais investissements locatifs. Il faut miser sur certains critères et prendre le temps d’analyser les offres avant de décider sur l’achat. Voyez si le bien peut répondre à votre attente et correspondre à votre objectif. Vérifiez l’emplacement, la demande de location, le secteur, la rentabilité, la superficie de la maison, etc. Ensuite, voyez son état en général ainsi que les commodités. Est-ce bon pour la location ou la revente ?

Ne pas se précipiter

Les agents immobiliers connaissent déjà que sous leur pression, de nombreux visiteurs décident d’acquérir la maison rapidement. Pour l’investisseur, ce sera une erreur fatale ! Décidez-vous aujourd’hui car je vais recevoir un bon investisseur demain, c’est une offre à saisir rapidement, ce bien intéresse beaucoup d’investisseurs,… Ces vendeurs sont doués pour inventer toutes ces choses-là et vous donner le sentiment de tomber sur la meilleure offre qui soit. Ressaisissez-vous. Prenez toujours le temps de réfléchir à cet investissement. Le but est d’obtenir une bonne affaire, et ça, il y en a beaucoup. Visitez au moins plusieurs immeubles pour comparer le prix. A ce sujet, restez vigilant, car un prix bas n’est pas toujours bon signe. Découvrez la raison pour laquelle ce bien est vendu moins cher que les autres.

Contactez d’autres banques

Si une banque refuse de créditer le financement de votre domicile, cela ne veut pas dire que tous les autres agiront de la même manière. En effet, chaque prêteur possède une politique particulière en ce qui concerne la validation d’une demande de prêt immobilier. Si votre dossier ne se trouve pas assez pertinent pour un établissement financier, un autre pourra l’accepter. De plus, il existe différents organismes prêteurs auxquels vous pouvez vous tourner pour financer l’acquisition de votre maison. On peut par exemple, citer une banque généraliste ou un spécialiste dans le crédit immobilier.

Revoyez le dossier de demande de crédit immobilier

Avant de soumettre votre dossier à une nouvelle banque, vérifiez si celui-ci ne requiert pas quelques améliorations. En d’autres termes, vous pouvez donner une meilleure image à votre compte bancaire s’il a été récemment à découvert. Pour ce faire, décalez votre demande de quelques mois le temps d’y remettre de l’ordre. Outre cela, vous pouvez augmenter votre apport concernant le financement du bien immobilier pour que la banque accepte votre crédit. Dans ce cas, votre contribution allègera la somme à prêter et par la même occasion, limitera les risques encourus par votre créancier.

Se présenter comme un bon emprunteur

Peaufiner son profil d’emprunteur s’avère également une bonne stratégie si vous avez vu votre demande de crédit immobilier refusée. En ce sens, allongez le délai de remboursement de votre prêt afin d’augmenter votre capacité d’endettement. En effet, les échéances de votre crédit ne doivent pas dépasser les 33 % de votre salaire mensuel au risque de voir votre financement immobilier rejeté. Enfin, mettre en avant les qualités du bien à acquérir est aussi une astuce pour convaincre une banque à vous avancer de l’argent son achat. Et enfin, sachez que l’hypothèque ou la caution de la maison constitue une garantie non négligeable pour le prêteur. Il faudra donc, la considérer dans votre démarche de négoce.

Le taux de rentabilité brute

Il s’agit d’un indicateur simple des bénéfices d’un investissement locatif. La rentabilité brute se calcule simplement en divisant la valeur annuelle des loyers par son prix d’achat. Par exemple, si vous avez acheté le logement à 80.000 euros avec la rémunération d’agence incluse et que le frais de notaire est de 6000 euros. Puis, vous avez fait de travaux de réhabilitation qui a coûté 10000 euros pour ensuite louer le logement à 500 euros par mois. Pour calculer le taux de recette brute par an de votre investissement, vous devez compter le loyer annuel et le diviser par le prix total d’acquisition du bien pour ensuite multiplier par 100. Donc, avec l’exemple, c’est ((12 x 500) / (80.000 + 6000 + 10000)) x 100 ce qui donne 6,25 %. Cette rentabilité est apparemment très intéressante, toutefois, il faut noter que le calcule n’a pas tenu compte de certains critères importants comme les frais d’entretien du logement, ainsi que les frais de gestion et le coût de la fiscalité sur l’investissement.

La rentabilité nette des charges

Ce mode de calcul reflète plus précisément la réalité, car il tient compte du fait qu’un logement a besoin de certains entretiens qui exigent des frais pour être louable au prix commun du marché. Ces frais seront déduits du revenu locatif par an. Les frais pris en compte sont les frais de copropriété qui ne sont pas en charge du locataire, les frais de gestion locative, la taxe foncière, les frais d’assurance, les frais des travaux d’entretien et le coût des provisions lorsque le logement n’est pas occupé. Pour obtenir le résultat du taux de rendement net de charges, vous devez calculer le loyer annuel et y soustraire les charges locatives annuelles pour ensuite diviser le résultat par le prix total d’acquisition et multiplier par 100.